huile sur toile, 2006
Au travers de ce tableau, on découvre un antagonisme idéologique évident. Un modernisme destructeur entremêlé d'une authenticité salvatrice…

Aujourd’hui, grâce aux technologies toujours plus sophistiquées, l’homme surmonte l’espace temps au détriment de l’espace nature. Dans ce confort et cet urbanisme, preuves d'une indéniable intelligence, il en oublie l’essentiel, cette réalité vitale qu'est "notre Mère Nature" et s'en éloigne irrémédiablement.

Dans cette autodestruction annoncée, une lueur d’espoir résiste…

Notre âme.

Celle qui, jamais ne s’égare. Celle qui s’appuie sur les éléments naturels, se mêle aux montagnes, aux forêts, aux rivières… Celle qui respecte les forces universelles. Ce "garde fou" qui nous ramène au monde réel et vivant, nous rapproche d’une vie plus saine et plus humaine…
Cet irrésistible besoin de retour aux sources.