Son goût pour l'image se manifeste très tôt. Photographe de presse, il devient Journaliste Reporter d'Images.Il peint pour le plaisir et délaisse rapidement le figuratif pour le non coformisme. l'artiste exprime à sa manière  les méandres tortueux de Baudelaire dont les oeuvres ne quittent pas sont chevet. Il a reconnu dans cet auteur ses propres cheminements de pensées. C'est le plus souvent de ces extraordinaires enchevêtrements de mots aboutissant à des sensations de schémas hyper réalistes de la nature humaine que jaillissent les images qu'il projette sur la toile et autres supports. Arthur JOHN ose. Parallèlementaux méandres des Fleurs du mal, il puise au plus profond de son entité les résurgences évanescentes de l'art Africain. C'est ainsi qu'il cée des masques qui pourraient sortir de l'au-delà. Le mélange de ces deux sources constitue son inspiration. Sa réserve naturelle n'a pas de place dans sa créativité débordante.Ses besoins d'extractions de lui-même vont au delà des servitudes de la réalisation. Et il ressent parfois la frustration de ne pas avoir le temps matériel de concrétiser ses désirs de matérialisation de son sublime. il doit faire l'effort intellectuel d'un stand by de son imagination pour terminer une oeuvre dans l'esprit où il l'avait entreprise. Il lutte contre sa madestie pour réaliser sa première exposition à Avignon où il obtient le Prix des Arts, et le Premier Prix de la peinture Moderne et imaginaire voté par le public le 15 Juillet 1995. Le cercle International de la pensée des Art Français lui décerne le dixième prix du salon Dali Magritte à Nice pour l'ensemble de son oeuvre le 12 Janvier 1996. Il remporte le Prix du mérite au deuxième été de l'imaginaire en Roussillon le 18 Juillet 1997 qui lui vaut le diplôme de la cote des Arts en distinction de son oeuvre.

                                                             Saskia